Améliorer la réponse immunitaire contre les pathogènes et améliorer l’efficacité vaccinale
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Description courte
Proposition d'un traitement pour améliorer la réponse immunitaire quand il n'y a pas de vaccin (SIDA, malaria) ou quand il doit être renouvelé chaque année (grippe). La cause de cet échec est attribuée à la faculté qu'a le pathogène de muter. L'auteur ne pense pas que ce soit la cause principale. Certains virus ont une vitesse de mutation élevée, cependant il existe un vaccin efficace. D'autres ont une vitesse de mutation faible et pourtant il n'existe aucun vaccin. L'auteur estime que l'important est la ressemblance entre les protéines du pathogène et les protéines de l'hôte (mimétisme moléculaire). Le traitement consisterait à éliminer des épitopes du soi, identiques à ceux du pathogène par des injections intrathymiques d'anticorps d'animaux immunisés contre le pathogène. 200 caractères MINIMUM et 1 li
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Description
L’auteur propose un traitement pour améliorer la réponse immunitaire dans les cas où il n’y a pas de vaccin (SIDA, malaria) ou lorsqu’il doit être renouvelé chaque année (grippe). On attribue en général l’échec à la faculté que le pathogène a de muter, c’est à dire de modifier certaines de ses protéines. L’auteur ne croit pas que ce soit la cause principale. Il y a des virus contre lesquels il existe des vaccins efficaces et qui ont une vitesse de mutation élevée, et aussi l’inverse. Il estime que l’important c’est le taux de ressemblance des protéines du pathogène avec celles de l’hôte (mimétisme moléculaire. Si beaucoup d’épitopes du pathogène sont identiques à ceux de l’hôte, très peu sont différents de ceux de l’hôte et capables d’induire la production d’anticorps par vaccination. Si le pathogène mute, les épitopes sont en partie changés et il ne reste plus assez d’anciens épitopes capables de réagir avec les anticorps de la vaccination. Si au contraire beaucoup d’épitopes du pathogène sont différents de ceux de l’hôte, il y a beaucoup d’anticorps formés au cours de la vaccination et les mutations laissent encore assez d’épitopes anciens réagissant avec le vaccin. Le thymus est un organe dans lequel les lymphocytes T reconnaissant les épitopes étrangers à l’hôte sont conservés. Ceux reconnaissant les épitopes de l’hôte (l’ensemble du soi) sont éliminés. L’auteur propose de vacciner un animal d’une race choisie pour donner des anticorps nombreux avec le pathogène, de purifier ces anticorps par chromatographie, puis de les injecter dans le thymus de l’hôte où se fait la reconnaissance des lymphocytes T. Un certain nombre de types d’épitopes humains seront éliminés par ces anticorps et ne feront plus partie de l’ensemble du soi. Ils deviendront donc des épitopes étrangers. Au cours d’une vaccination ou d’une infection ultérieure un plus grand nombre d’épitopes du pathogène seraient reconnus comme étrangers, donnant lieu à la production de nombreux types d’anticorps, et dans ce cas les mutations du pathogène seraient sans effet.
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